Qu’est-ce qu’un terroriste ?

Mis en ligne le 21 Août 2017

Si pour reprendre la formule de Camus « Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde », bien les nommer, les caractĂ©riser, suppose nĂ©anmoins un vĂ©ritable accord sur leur dĂ©finition. Les termes de terroriste et de terrorisme en sont toujours exempts. Mieux cerner cette difficultĂ© de caractĂ©risation, pointer les Ă©lĂ©ments de fixitĂ©, au-delĂ  des mutations du terroriste et du terrorisme, c’est toute l’ambition de cet article issu de l’Ecole de Guerre (EDG). L’auteur explore avec rigueur et souci d’objectivitĂ© ces concepts de terroriste et de terrorisme, prĂ©alable indispensable Ă  l’efficacitĂ© des actions visant Ă  en combattre les manifestations d’une dramatique contemporanĂ©itĂ©.

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Les opinions exprimĂ©es dans cet article n’engagent pas le CSFRS.

Les rĂ©fĂ©rences originales de ce texte sont: A. Girard, « Qu’est-ce qu’un terroriste ? « , Ecole de Guerre, juillet 2017.

Ce texte, ainsi que d’autres publications, peuvent ĂȘtre visionnĂ©s sur le site de l’Ecole de Guerre.

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Qu’est-ce qu’un terroriste ?

« La hĂąte avec laquelle ce groupe a Ă©tĂ© supposĂ© coupable et assimilĂ© Ă  la bande Ă  Baader, Ă  Action directe, voire Ă  Ben Laden, tĂ©moigne d’une Ă©trange confusion dont ne peuvent se rĂ©jouir que les terroristes, les vrais».

 

Cette phrase, extraite d’un article du Canard enchaĂźnĂ© du 19 novembre 2008, rĂ©sume toute l’ambiguĂŻtĂ© que revĂȘt la qualification de terroriste. En aoĂ»t 2015, le juge d’instruction, en charge du dossier Tarnac, dĂ©savoue le parquet en rejetant la circonstance aggravante « d’entreprise terroriste ». La cour de cassation confirmera cette dĂ©cision le 10 janvier 2017, ce dont Le monde se fera l’écho en dĂ©plorant, le 17 janvier, « une occasion manquĂ©e de dĂ©finir le terrorisme ». Argument juridique ou rĂ©ponse Ă  la pression politico-mĂ©diatique, cette affaire met en exergue l’usage qui peut ĂȘtre fait de la qualification de terroriste.

DĂšs lors, afin de mieux combattre la menace que le terrorisme contemporain, Ă  partir de 1995, sous la banniĂšre du djihadisme islamique[1] sunnite, fait peser sur le monde en gĂ©nĂ©ral et la France en particulier, il convient de s’interroger sur ce qu’est vĂ©ritablement un terroriste. Autrement dit, peut-on limiter cette part de subjectivitĂ© qui tantĂŽt protĂšge tantĂŽt condamne un (potentiel) criminel et/ou ses (potentiels) soutiens ? Au prĂ©alable, il convient de s’entendre sur le terme de politique, notion rĂ©currente dans cette rĂ©flexion. Il sera employĂ© dans son acception classique : qui a rapport Ă  la gestion de la citĂ©, des membres qui la composent, Ă  son gouvernement.

Ainsi, s’il existe une difficultĂ© Ă  s’accorder sur une caractĂ©risation de l’acte terroriste, c’est aussi parce que l’acteur a revĂȘtu de nombreux visages. Or, malgrĂ© la mutation opĂ©rĂ©e par le terroriste contemporain, une constante demeure, son message et le projet politique qui motivent son entreprise.

 

Une difficile caractĂ©risation de l’acte terroriste

Le terroriste Ă©tant l’effecteur du terrorisme et ce dernier reprĂ©sentant une menace globale, la premiĂšre difficultĂ© rencontrĂ©e, pour le caractĂ©riser, rĂ©side dans l’absence de dĂ©finition internationalement admise. Le Larousse en ligne lui associe ainsi l’« ensemble des actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis par une organisation ou un individu pour crĂ©er un climat d’insĂ©curitĂ©, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine Ă  l’égard d’une communautĂ©, d’un pays, d’un systĂšme. » Or, pour ne prendre qu’un critĂšre de divergence, si dĂ©finir permet de condamner, on comprend la rĂ©ticence de certains pays, pour des raisons tant historiques que contemporaines, Ă  adopter une dĂ©finition commune qui associerait un Etat Ă  cette « organisation ». C’est ainsi que, par exemple, une Ă©tude de l’US Army de 1988 avait recensĂ© 109 dĂ©finitions de terrorisme portant sur 22 critĂšres de divergences.

La France dĂ©finit le terrorisme dans son code pĂ©nal Ă  l’article 18 de la loi n°2011-266 du 14/03/2011 qui dispose : « constituent des actes terroristes, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes ». Suit une Ă©numĂ©ration allant de l’atteinte volontaire Ă  la vie au dĂ©lit d’initiĂ© en passant par le soutien logistique. On relĂšvera que, par rapport Ă  la premiĂšre version de 1986, a Ă©tĂ© rĂ©cemment rajoutĂ©e la notion d’entreprise individuelle, probablement en rĂ©ponse Ă  l’apparition et la mĂ©diatisation du concept de « loup solitaire ». Dans le fond, il s’agit d’ajouter les circonstances aggravantes de « relation avec une entreprise ayant pour but de troubler l’ordre public » Ă  des crimes et dĂ©lits de droit commun.

Cependant cette acception juridique ne semble pas Ă©vincer la subjectivitĂ© qui, prĂ©valant notamment en France depuis le XIXĂšme siĂšcle, permet de disqualifier certaines formes d’opposition Ă  un pouvoir lĂ©gitime, voire d’en lĂ©gitimer d’autres qui se lĂšveraient contre un Etat oppressif. Dans un article d’aoĂ»t 2016, Vincent Sizaire, magistrat et maĂźtre de confĂ©rence associĂ© Ă  l’universitĂ© Paris-Ouest-Nanterre-la DĂ©fense, rĂ©sume la problĂ©matique en ces termes : « la qualification de terrorisme relĂšve donc d’avantage du rapport de forces politiques que de l’hermĂ©neutique juridique ». Ainsi, le terroriste semble ĂȘtre l’usager d’une violence illĂ©gitime, au moins initialement, mise « intentionnellement » au service d’un acte aux incidences politiques. On sent donc bien que, malgrĂ© la confusion qui rĂšgne autour de la caractĂ©risation de terroriste, se dessine un enjeu Ă©minemment politique. Les diffĂ©rents exemples de terroristes rencontrĂ©s Ă  travers l’histoire devraient conforter cette premiĂšre approche.

 

Les nombreux visages du terroriste

Le terroriste a revĂȘtu de nombreux visages depuis, Ă  minima, l’origine du mot qui, comme chacun sait, appartient Ă  l’histoire de France. Le rĂ©gime de la Terreur de 1793, porte en lui-mĂȘme toute l’ambiguĂŻtĂ© qu’évoque encore aujourd’hui le terme de terrorisme. En 1793, le terroriste est un Etat, lĂ©gitime mĂȘme si son mode de fonctionnement reposait sur l’arbitraire. Il met en pratique ce que LĂ©on Trotski thĂ©orisera dans les annĂ©es 20 : « le rĂšglement de la guerre civile devra se composer de trois chapitres au moins : la prĂ©paration de l’insurrection, l’insurrection et enfin l’affermissement de la victoire », affermissement qui consiste en « l’écrasement des derniĂšres forces ennemies »[2]. A contrario, durant la 2Ăšme Guerre mondiale, les rĂ©sistants français Ă©taient qualifiĂ©s de terroristes par le rĂ©gime de Vichy et les allemands. La lĂ©gitimitĂ© de leur combat qui ne fait Ă©videmment aucun doute aujourd’hui, n’a Ă©tĂ© reconnue qu’à postĂ©riori dans une perspective toute Ă  la fois politique et historique. Ainsi, le terroriste est d’abord un combattant dĂ©noncĂ© par le pouvoir lĂ©gal qu’il affronte et qui a recours Ă  des actions dĂ©rogeant aux rĂšgles de droit commun pour mener son combat politique.

La violence, seulement planifiĂ©e ou effective, est intrinsĂšque au terroriste. Elle n’est pas un pis-aller. La dĂ©fense sĂ©ditieuse d’un projet politique ne suffit pas Ă  caractĂ©riser le terroriste : les Britanniques n’ont pas arrĂȘtĂ© 60 000 terroristes (dont Gandhi lui-mĂȘme) le 12 mars 1960 mais des contrevenants Ă  la fiscalitĂ© sur le sel. C’est d’ailleurs ce recours Ă  la violence illĂ©gale et ses consĂ©quences politiques qui sont Ă  l’origine de la confusion qui rĂšgne autour de la qualification de terroriste. Ainsi, parmi les attentats qui prĂ©cĂ©dĂšrent la crĂ©ation de l’Etat d’IsraĂ«l entre 1920 et 1948, celui de l’hĂŽtel King David (abritant le secrĂ©tariat du gouvernement britannique de Palestine), le 22 juillet 1946, est symptomatique. Moins pour son bilan de 137 morts, que parce qu’il a Ă©tĂ© planifiĂ© par Menahem Begin, chef de l’Irgoun depuis 1943, qui sera premier ministre d’IsraĂ«l de 1977 Ă  1983 et prix Nobel de la paix en 1978, pour les accords de paix de Camp David.

Enfin, depuis la chute du mur de Berlin, le terroriste a Ă©voluĂ© puis mutĂ©. Il a Ă©voluĂ© tout d’abord. Avant 1989, il agissait sous couvert d’organisations majoritairement « technomorphes »[3], c’est-Ă -dire manipulĂ©es par une puissance occidentale (Main rouge, IRA, ETA, Action Directe, par exemple). Depuis, il agit au profit d’entitĂ©s « polymorphes »[4], autonomes et Ă©volutives. La nĂ©buleuse Al QaĂŻda en est le meilleur exemple. Puis il a mutĂ©. En effet, le terroriste Ă©tait un combattant politique qui se servait d’activitĂ©s criminelles pour servir son projet politique. Depuis les attentats de 1995, Khaled Kelkal a inaugurĂ© une nouvelle gĂ©nĂ©ration de terroristes qui, initialement dĂ©linquants, ont trouvĂ© dans le djihadisme un moyen de donner un sens Ă  leur rupture sociale. Parmi eux, on a distinguĂ© ensuite la premiĂšre gĂ©nĂ©ration (Khaled Kelkal, Boualem BensaĂŻd, Djamel Beghal etc.) des « homegrown », nĂ©s dans le pays cible (Mohamed Merah, Amedy Coulibali, Abdelhamid Abaaoud, etc.). Quoi qu’il en soit, tous sont djihadistes.

Ainsi, malgrĂ© tous ces visages, l’approche historique conforte l’intuition juridique : la constante d’un projet politique semble bien ĂȘtre le dĂ©nominateur commun de ce type particulier de criminels.

 

Constante du terroriste : le projet politique

Cette spĂ©cificitĂ© du terroriste le caractĂ©rise effectivement toujours aujourd’hui, quel que soit son profil, pour ce qu’il reprĂ©sente comme par ses soutiens, conscients et inconscients.

DĂ©linquant homegrown ou de premiĂšre gĂ©nĂ©ration, il est socialement radicalisĂ©. Rejetant le contrat social qui le lie au pays dans lequel il vit, il s’affranchi de rĂšgles dont il n’a pas appris Ă  comprendre la nĂ©cessitĂ©. Statistiquement, il ne s’agit pas du constat d’échec d’un processus d’intĂ©gration. Khaled Kelkal Ă©tait un bon Ă©lĂšve, la famille d’Adel Kermich est un modĂšle d’intĂ©gration et le problĂšme ne se pose Ă©videmment pas pour les 25% de djihadistes français convertis
 Pourtant, les dĂ©clarations de Khaled Kelkal recueillies[5] le 3 octobre 1992 par le chercheur allemand en sciences sociales, Dietmar Loch, comme le rĂ©cent reportage (2016) de la norvĂ©gienne Deeyah Khan, Djihad : a story of the others, montrent comment un malaise social est le terreau de la radicalisation. DĂšs lors, Ă©pouser la cause du GIA, d’Al QaĂŻda ou de l’Etat islamique (EI), c’est enfin exister en mettant sa radicalitĂ© au service d’une autre, politique. Olivier Roy, dĂšs 2008, rĂ©sumait ainsi la situation : « le terrorisme ne provient pas de la radicalisation de l’islam, mais de l’islamisme de la radicalitĂ© ».

Cela prĂ©cisĂ©, il n’en demeure pas moins l’effecteur d’un objectif politique global : celui de l’islamisme sunnite radical thĂ©orisĂ©, notamment, par l’égyptien et frĂšre musulman SaĂŻd Qutb, dans les annĂ©es 60. La version shi’ite avait abouti plus tĂŽt avec l’Ayatollah Khomeini et ses rĂ©percutions terroristes en France dans les annĂ©es 80. Quelle que soit l’entitĂ© Ă  laquelle se rĂ©fĂšre sa mise en scĂšne macabre, le terroriste se sert, aujourd’hui, des mĂȘmes symboles : l’égorgement, le cri de « Allah akbar », le drapeau noir frappĂ© de la Chahada (profession de foi musulmane) en lettres blanches. MĂȘme un dĂ©sĂ©quilibrĂ© comme l’ouvrier de Saint-Quentin-Fallavier (IsĂšre) a recours Ă  ses rĂ©fĂ©rences et participe donc, de fait, Ă  la diffusion de la terreur. D’Inspire (Al QaĂŻda) Ă  Rumiyah (EI), les outils de propagandes de ces groupes terroristes exploitent d’ailleurs mĂ©thodiquement toutes ces actions. Ainsi, conscientisĂ© ou proxy plus ou moins manipulĂ©, le terroriste comme le dĂ©sĂ©quilibrĂ©, en rĂ©pandant la terreur, sert l’idĂ©ologie qui l’a irriguĂ© : « fomenter en Europe (
) une guerre de tous contre tous destinĂ©e Ă  faire imploser le Vieux Continent et y instaurer son califat »[6].

Enfin, le nĂ©cessaire soutien dont il bĂ©nĂ©ficie l’inscrit dans ce projet global. MatĂ©riellement tout d’abord, il ne pourrait se procurer ses armes, planifier ses projets, se cacher sans complices. En effet, ex-officier supĂ©rieur de gendarmerie, Jean-Charles Antoine, expert en trafic d’armes, affirme, contrairement Ă  la rumeur mĂ©diatique, qu’il est impossible de se procurer illĂ©galement des armes si l’on n’est pas bien introduit dans les rĂ©seaux, principalement en prison. Le terroriste est aussi indirectement soutenu par le truchement des mĂ©dias. Ils sont la nĂ©cessaire caisse de rĂ©sonnance de ses actions et, partant, de la cause qu’il dĂ©fend. Ces vecteurs involontaires de la terreur, mus tant par leur boulimie d’information que par la crainte de leurs effets anxiogĂšnes, sont, parfois une aide tactique (BFMTV, 09/01/2015), et, souvent, un filtre relativisant la menace de l’idĂ©ologie islamiste (traitement complaisant des organismes liĂ©s Ă  la mouvance des FrĂšres musulmans comme l’UOIF[7], par exemple). Cette derniĂšre, profitant de la difficultĂ© qu’ont les mĂ©dias et certaines personnalitĂ©s publiques Ă  analyser ce phĂ©nomĂšne sous un autre prisme que celui de la culture française (nation, laĂŻcitĂ©, dĂ©mocratie et libertĂ©s individuelles) continue d’ĂȘtre insidieusement dissĂ©minĂ©e. DĂšs lors, tels de nouveaux « idiots utiles » post-URSS, ils servent la rhĂ©torique des terroristes contemporains, en plus de la condamnation des interventions occidentales au Proche et Moyen-Orient.

En dĂ©finitive, le terroriste est bien ce combattant, qui a recours Ă  une activitĂ© criminelle visant Ă  gĂ©nĂ©rer la terreur afin de disloquer le systĂšme qu’il combat et, Ă  terme, le remplacer par une autre structure politique. Cette cause est, pour lui, au-dessus de la loi. Que son action soit individuelle ou collective, qu’elle soit commanditĂ©e ou Ă  son initiative, planifiĂ©e ou d’opportunitĂ©, elle sert un projet global qui, effectivement, est susceptible de le dĂ©passer, au moins dans le temps. Alain Bauer et Christophe Soullez[8] s’accordent sur la dĂ©finition suivante : « Le terroriste cherche Ă  crĂ©er un impact psychologique sur les populations en provoquant la peur, se servant ainsi de la terreur comme d’un moyen de pression Ă  l’appui de ses revendications. (
) Mais toujours dans un but de faire passer un message. » Or, ce message est politique car, finalement, le terroriste est un rĂ©volutionnaire.

Le combattre, au-delĂ  des moyens de fichages et de rĂ©pressions mis en Ɠuvre aujourd’hui, posture uniquement dĂ©fensive, pourrait consister Ă  l’isoler : le priver de ses soutiens, s’attaquer directement Ă  son idĂ©ologie et identifier ses vecteurs de diffusion. Ce combat impose de se tourner rĂ©solument vers une dynamique d’anticipation. Il nĂ©cessite ensuite de se risquer Ă  dĂ©signer l’ennemi et dĂ©finir son centre de gravitĂ© : la population. C’est au sein de la population que se lĂšveront les prochains homegrown et leurs soutiens. C’est aussi la population qui, par sa rĂ©silience et ses choix, forme le rempart le plus sĂ»r de la citĂ©. L’éducation et la formation sont les moyens de comprendre puis d’atteindre le centre de gravitĂ© de cette menace polymorphe et Ă©vanescente : Ă©ducation de la jeunesse, formation des adultes, hommes publiques, mĂ©dias et responsables en tout genre.

Pour finir, cet effort de formation gagnerait aussi Ă  ĂȘtre gĂ©nĂ©ralisĂ© au sein de la DĂ©fense. Ainsi, pour ne prendre qu’un exemple, des cours d’islamologie[9] dispensĂ©s Ă  l’Ecole de guerre auraient au moins trois effets vertueux : identifier les vrais spĂ©cialistes, permettre aux futurs chefs des diffĂ©rentes armĂ©es de dĂ©celer des signes de radicalisation et, enfin, renouer avec les principes de base de la contre-insurrection Ă  savoir que le ciblage n’est qu’un moyen de gagner du temps dans une stratĂ©gie plus globale.

References[+]


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